Afin de réduire la quantité de micro-organismes pouvant être à l’origine de maladies, contaminations voire même d’attaques bactériologiques.

Pour toutes ces raisons sanitaires et de sécurité, on ne peut éviter de chlorer l’eau et aucun autre procédé de cette efficacité n’a été révélé.


Le chlore peut être absorbé par inhalation lorsque l’on respire de l’air contaminé ou par ingestion lorsque l’on consomme de l’eau ou de la nourriture contaminée. Il ne reste pas dans le corps du fait de sa réactivité.


Néanmoins de plus en plus d’études tendent à démontrer que le chlore peut avoir des effets très nocifs sur le corps humain notamment en fonction de la durée et de la fréquence de cette absorption.

Des études récentes ont montrées que l’exposition répétée au chlore dans l’air pouvait affecter le système respiratoire, qu’il irritait les yeux et la peau.


Selon la Ddass et la Drass des Pays de Loire « le chlore réagit avec les matières organiques présentes dans l’eau comme des feuilles en décomposition. Cette réaction chimique produit des sous-produits de la chloration. Les plus courants étant les trihalométhanes (THM), notamment le chloroforme. La concentration de THM est plus ou moins importante selon la saison et la source de l’eau potable. Or, plusieurs études sur l’homme ont révélé un lien accru de certains cancers (vessie, colon) chez les sujets ayant consommé de l’eau chlorée pendant de nombreuses années. Une étude menée sur des femmes par des chercheurs de l’université d’Hartford dans le Connecticut a aussi montré que les femmes ayant un cancer du sein avaient dans leur poitrine une forte concentration en composants organochlorés (50 à 60 % plus élevé que les femmes sans cancer du sein). »


Certains médecins ou scientifiques vont même jusqu’à prédire un scandale du chlore (comme il en a été pour l’amiante) à l’origine selon eux de troubles cardiaques, vieillissement mental et physique précoce. La faute aux THM crée par le chlore qui favorise la production dans notre corps de radicaux libres à la base des dommages cellulaires.


Rien ne montre qu’un jour le chlore sera remplacé dans nos usines de traitement des eaux et il est fort probable que celui sera toujours utilisé.